Orientation post bac : Filière PACESBenoît, votre E-prof de soutien scolaire en ligne vous fait découvrir, via cet article sur l’orientation post bac, le parcours de trois étudiants en PACES. A la fin de ces témoignages, découvrez la fiche d’orientation.

Inès est actuellement en première année de PACES (Médecine), Jean en 5ème année et Clothilde, qui après avoir également étudié en première année de PACES, poursuit aujourd’hui une formation pour devenir infirmière. Nous les remercions pour avoir accepté de répondre à nos questions. Nous espérons que cela puisse vous aider dans vos choix d’orientation souvent difficile.

1/ Comment s’est déroulée votre année de terminale ?

Clothilde :
« J’ai fait un bac S spécialité SVT. J’étais plus à l’aise dans tout ce qui touchait les sciences de la vie. J’avais beaucoup plus de mal avec la deuxième langue vivante (allemand) et la philosophie. J’ai pris l’option histoire en terminale (réforme de cette année-là, 2013), où j’ai obtenu une note de 16. J’ai obtenu mon bac mention bien avec presque 15 de moyenne, ma meilleure note étant la SVT avec 18/20 et la pire note étant la philosophie avec 9/20. »

Inès :
« Je me suis orientée dans la filière scientifique en première malgré le fait que je me sentais tout autant à l’aise dans les matières littéraires. Je me considérais comme une bonne élève dans tous les domaines sans pour autant exceller dans certaines matières. Puis j’ai suivi la spécialité physique chimie en terminale.

J’ai vu mes moyennes augmenter tous les ans au lycée grâce à beaucoup de travail à la maison. J’avais besoin de beaucoup travailler pour avoir ces résultats, mais avec du recul j’utilisais beaucoup trop ma mémoire à court terme ce qui m’a posé de gros problèmes dans mes études supérieures. Je pense qu’un de mes points forts était mon organisation, je faisais des fiches tout au long de l’année, tous mes chapitres et exercices de chaque matière étaient regroupés dans un tableur pour organiser mes révisions par exemple.

J’ai atteint environ 15/20 de moyenne générale en terminale avec les coefficients du BAC auquel j’ai obtenu la mention très bien avec 17 de moyenne. »

Lire aussi : ParcourSup comment ça marche ? Mode d’emploi

Jean :
« J’ai choisi une filière S, c’est la seule qui m’intéressait, mes matières préférées ont toujours été les matières scientifiques (et l’histoire). Parmi les matières scientifiques je préférais la SVT, en appréciant toutefois les maths et la physique. Je n’étais pas un élève excellent j’oscillais entre 13 et 14, au bac j’ai eu la mention bien en ayant pile 14, dont 16 en SVT (1/4 au TP… Hum), 14 en maths et 12 en physique. Je n’étais pas un gros travailleur, je travaillais surtout ce qui m’intéressait, et le lycée était de moins en moins adapté à ma personnalité au fur à mesure que j’avançais dans ma scolarité. »

2/ Comment avez-vous géré votre projet d’orientation ?

Clothilde :
« Je souhaitais m’orienter en médecine, j’avais cette réflexion depuis le collège. Je voulais devenir pédiatre. Lors de la procédure APB, je n’ai mis qu’un choix, celui de la PACES qui a été respecté au premier tour. »

Inès :
« Lors de mon année de 3ème j’ai choisi de faire mon stage chez une sage-femme libérale puisque me diriger dans des études de médecine était une possibilité. Après cette semaine de stage et de nombreuses recherches sur internet ou visionnage de reportages sur le métier, j’ai su que ce métier me plairait. J’ai réitéré l’expérience avec cette même sage-femme en dehors du cadre du collège pour apprendre encore plus, et j’ai eu l’occasion de rencontrer une élève sage-femme qui m’avait beaucoup conseillé à ce moment-là.

Je me suis ainsi orientée vers la filière scientifique au lycée pour pouvoir intégrer plus facilement la PACES (première année commune aux études de santé) et entrer ensuite dans l’école de sage-femme. Lors de la procédure APB, mon premier vœu se portait donc sur la faculté de médecine de Tours, et d’autres villes qui étaient regroupées du fait du possible manque de place. J’ai finalement été acceptée à la faculté de Tours et je suis actuellement à la fin de mon premier semestre de PACES, ayant passé le concours.

En parallèle, j’ai décidé d’entrer dans une prépa privée qui permet de préparer au concours de PACES. Il faut savoir qu’en plus de la faculté, il est conseillé d’adhérer au tutorat ou à une prépa pour pallier aux cours et surtout pour s’entrainer aux qcm tout au long de l’année.

Je pense que le tutorat correspond plus à des étudiants qui sont indépendants, alors que la prépa est plus personnalisée avec un suivi plus précis. Tout dépend de ce que vous cherchez, de votre budget puisque le tutorat est bien mon couteux. J’ai donc choisi une prépa, qui sélectionnait sur dossier avec les relevés de notes et appréciations de l’année de première et de terminale de par le nombre de place limité (ce qui n’est pas le cas avec le tutorat). Dans les deux cas on vous propose une prérentrée de deux à trois semaines. Avec ma prépa j’ai pu profiter d’environ 70% des cours du premier semestre et aborder la plupart des notions ce qui permet de ne pas être trop perdue lors des premières semaines. »

Jean :
« J’étais clairement perdu, je m’y suis pris un peu en retard, sans trop m’informer. Soit je faisais une prépa véto (option que je n’ai pas pris par crainte d’échouer), soit une fac de biologie, soit je tentais la PACES (pour faire kiné à la base). J’avoue que j’ai manqué de conseil, et peut être n’étais-je pas assez impliqué aussi. Les professeurs ont été globalement favorables, en m’avertissant quand même sur la difficulté de ce qui m’attendait. Au final j’ai choisi la PACES, dans l’optique de faire kiné ou médecine. »

3/ Comment se déroulent vos études post-bac en LMD de biologie ?

 Clothilde :
« Actuellement, je suis en 3ème année d’études d’infirmière. Je me suis réorientée à la fin de mon année de médecine par obligation (numérus clausus trop bas). L’institut de formation où je suis a un fonctionnement bien particulier, pas tout à fait universitaire. Nous sommes beaucoup plus encadrés qu’au lycée avec un suivi personnalisé (le suivi est moins présent lorsque nous réussissons mais les formateurs sont très attentifs aux difficultés rencontrées et suivent les étudiants sur plusieurs évaluations en cas de difficultés). Je comparerai le suivi à celui que nous avions en primaire : le formateur est présent à chaque instant. C’est seulement adapté au niveau d’étude bien sûr.

Au quotidien, cela demande de l’organisation car nous avons des horaires très scolaires, sans heures « d’étude », il faut donc gérer son temps personnel. »

Inès :
« L’année de PACES se déroule très différemment de l’année de terminale. Elle s’organise en deux semestres de 3 et 4 mois environ se terminant par un concours, avec un mois de vacances entre. Il est donc plus difficile de rattraper son retard pendant ses grandes périodes.

Les cours se déroulent dans des amphithéâtres en cours magistraux, d’ailleurs les cours sont à prendre beaucoup plus rapidement qu’au lycée.

Les concours de fin de semestres regroupent plusieurs UE (unités d’enseignement) qui diffèrent entre les deux semestres, comme par exemple de la chimie au premier semestre que l’on ne retrouve plus au second. C’est d’ailleurs le second semestre qui intéresse le plus les étudiants car on y retrouve des aspects médicaux comme l’anatomie par exemple. Il faut s’avoir que les résultats des deux concours se cumulent au classement final, avec des coefficients différents pour chaque UE selon la filière choisie (maïeutique, pharmacie, médecine…).

Une sélection a lieu à la fin du premier semestre avec 10% qui n’ont pas la possibilité de commencer leur second semestre. Puis à la fin du second semestre, seul un certain nombre d’étudiants a la possibilité de redoubler. Il faut s’avoir qu’il existe à Tours une bonne aide pour la réorientation si besoin, avec un salon présentant de nombreux métiers reliés à la santé qui ne nécessitent pas de passer par la PACES.

Concernant les cours magistraux, bien qu’impressionnants au début de l’année, se déroulent bien lorsque l’on trouve ses repères. C’est seulement après quelques semaines que je savais comment prendre les différents cours en notes, puisqu’il faut savoir que certains professeurs fournissent des diaporamas très complets où il faut rajouter quelques détails alors que d’autres ne donnent que des illustrations, parfois même sans plan de cours. La prise de note est propre à chacun, certains étudiants prennent tous les cours à la main, d’autre à l’ordinateur pour certaines matières.

C’est ce que j’ai fait ce semestre avec les cours de biologie pris à l’ordinateur car il y a de nombreuses informations et le fait de pouvoir modifier la mise en page de mes cours tranquillement chez moi me rassurait. Je savais très bien qu’apprendre un cours pris en note à la main me prendrait beaucoup plus de temps. Pour certains cours comme la chimie organique, recourir à l’ordinateur n’est pas possible (écrire les molécules se fait uniquement sur papier). C’est à vous de trouver ce qui vous correspond le plus.

J’ai également enregistré tous les cours magistraux avec le Dictaphone de mon téléphone, pour pouvoir retravailler le cours chez moi si une partie était mal comprise ou même pendant les révisions quand mes notes ne sont finalement plus très claires. Je pense que l’organisation est un de mes points forts, car il y a une énorme quantité de cours à trier, à imprimer, à classer et à réviser au bon moment. Il faut se connaitre déjà au lycée pour avoir une chance d’arriver à trouver une nouvelle organisation en PACES.

Concernant la vie étudiante, je pense que l’adaptation se fait différemment selon les personnes. J’ai pris beaucoup de temps pour m’adapter à vivre hors du confort de la maison, avec tout le quotidien à gérer en plus des études. J’ai toujours beaucoup de mal avec le fait de vivre seule, surtout en PACES où le temps pour sortir avec ses amis manque beaucoup. C’est pourquoi j’ai décidé d’aller travailler à la BU (Bibliothèque Universitaire) pour ne pas être tout le temps dans mon appartement et voir un peu de monde. »

Jean :
« J’ai fait une préparation de 15 jours avant la PACES avec le tutorat (organisation gratuite, faite par des étudiants de médecine, une des meilleures de France à Tours, recommandée ++ et évite de payer 1000 euros de prépa privée). C’était dur au début car on est AUTONOMIE, personne ne va nous dire de nous mettre au travail, on est seul, et c’est un concours. Tous les gens que l’on croise au quotidien sont des concurrents en fait. Mais j’ai su me mettre au travail sérieusement, une rupture avec la terminale ! En PACES c’est cours le matin, ensuite tu révises toute l’après-midi, puis khôlles au tutorat (entrainement 2 fois par semaine), et on rentre le soir pour réviser ! Moi ce rythme me convenait bien, j’aime faire les choses à ma façon, en autonomie et gérer mon emploi du temps. En plus les matières sont globalement plus intéressantes, c’était clairement mon domaine (ce qui me plait en tout cas). Il y a 1 examen en fin de premier semestre (qui se déroule dans un gigantesque hangar avec 1600 personnes, c’est très stressant au passage) et un au 2ème semestre. J’ai terminé 200ème sur 1600 et j’ai choisi médecine, je n’ai pas eu à redoubler. J’ai plutôt bien vécu ma PACES, mais la plupart des gens en garde un très mauvais souvenir et la majorité se réoriente… Même des élèves qui ont eu 16 au bac, mention très bien, prépa privée, etc… J’ai des amis qui sont passés en ayant eu 10 ou 12 au bac, mais le post bac et le bac sont deux choses différentes. Tout le monde a sa chance !! Après si on ne réussit pas, avec 10 de moyenne le long de l’année on peut aller en 2ème année de biologie, sinon il n’y a pas de passerelle… même en ayant fait 2 ans de PACES : il n’y a pas d’équivalence. C’est globalement le cas en médecine d’ailleurs, une fois qu’on est engagé mieux vaut aller au bout.

Après au quotidien c’est tout nouveau, on a un appart, on gère notre alimentation, on est autonome quoi (sauf financièrement bien sûr), on est beaucoup impliqué dans notre travail d’étudiant car notre avenir est en jeu (en terminale aussi mais cela parait moins concret). On est libre de gérer notre travail et notre emploi du temps, pas comme dans les prépas ou l’emploi du temps est plus chargé et où nous sommes plus cadrés. Cela ne convient pas forcément à tout le monde. En PACES ce qui fait la différence c’est le travail perso et son organisation.

Pour ce qui est de la filière médecine, la 2ème et 3ème année sont semblables à d’autres années à la fac dans d’autres filières globalement, on se repose de la PACES, mais les cours sont plus « concrets », plus intéressants, c’est aussi le début des stages (6 à 7 semaines dans l’année) au CHU. Ensuite c’est l’externat (4, 5 et 6) : les gens qui disent que la 1ère année est la pire, c’est complètement faux !!!!!!!! La plus dure est la 5ème ou la 6ème. En moyenne 10 matières par semestre, des examens fréquents en 5ème et 6ème année, des stages plus fréquents et prenant ; on alterne 6 semaines de cours et 6 semaines de stages pendant toute l’année. Il faut profiter des périodes de cours pour accroitre ses connaissances et arriver en stage avec des éléments pour travailler (oui on a un petit salaire en tant qu’externes, notre rôle est plus important qu’en 2 et 3ème année). Ensuite, nouveau concours entre 8000 candidats de toute la France pour choisir sa spécialité (chirurgie, généraliste, pneumologue, cardiologue…) à la fin de la 6ème année, c’est l’ECN.

Ce sont des études qui demandent du travail, qui exposent à des situations difficiles (situations des patients, décès, ambiance à l’hôpital, banalisation des étudiants dans certains services), mais c’est tellement intéressant, et le métier est tellement génial à l’arrivée, je ne me verrais pas faire autre chose. »

4/ Quels conseils donneriez-vous à un élève de terminale pour réussir dans votre filière ?

Clothilde :
« J’aurais aimé qu’on parle des différentes écoles où la formation est possible, peut-être plus en détails afin de pouvoir faire un choix plus éclairé. Il faut surtout se renseigner sur l’école, la façon de fonctionner, la réputation qu’elle a, le suivi pédagogique. »

Inès :
« Si vous souhaitez vous orienter dans la filière médicale vous savez déjà que ces études sont réputées pour être très difficiles, et c’est le cas (autant sur le plan des cours que sur l’aspect psychologique). Je pense que même avec beaucoup de préparation il est compliqué de se rendre compte de la quantité de travail à fournir.

Le principal est de ne pas se reposer sur ses acquis en matière d’organisation car le changement de matières vous fera obligatoirement reprendre toutes vos méthodes de travail. Il faut surtout ne pas perdre de temps, aller à l’essentiel bien que tous les détails des cours soient à connaître.

Paniquer devant la charge de travail ne vous fera pas avancer, c’est pourquoi je pense que se faire parrainer lors de cette année peut être très bénéfique. C’est ce que j’ai fait et je ne le regrette pas du tout. Il est vrai que pendant cette année, peu de personnes qu’il s’agisse de votre famille ou de vos amis comprendront ce que vous vivez au quotidien, contrairement à votre parrain ou marraine.

On ne peut pas vraiment se préparer à une année de PACES, cependant essayer de faire fonctionner sa mémoire à long terme aide énormément. Personnellement, je révisais toujours la veille de mes contrôles pendant le lycée et cela ne m’a jamais posé de problèmes. Mais en PACES il est essentiel de retenir ses cours sur une longue période. Et concernant les vacances avant cette année, je pense qu’il vaut mieux se reposer au maximum et peu réviser. Même si apprendre par exemple les acides aminés vous fera gagner du temps dans vos révisions car certains apprentissages ne nécessitent pas forcément de comprendre son cours. »

Jean :
« Tout le monde a sa chance, il ne faut pas démotiver ceux qui veulent le tenter, mais il faut que l’élève soit prêt à travailler, autrement dit tu peux très bien réussir mais il faudra faire des efforts, la PACES est un marathon. C’est dur de vraiment s’y préparer, il faut prendre le tutorat déjà (50 euros l’année), faire la préparation en août (15jours) et prévoir son organisation et sa méthode de travail. En gros, il faut : du travail !! Que ça nous plaise (sinon il faut tenter autre chose), et garder des activités à côté (du sport, lecture, hobbies) : ce point est vraiment important, on devient fou sinon, et de toute façon le travail est moins efficace, réviser après une séance de sport c’est vraiment idéal. »

Fiche orientation : INFORMATIONS sur la FILIÈRE PACES

Première Année Commune aux Etudes de Santé

La PACES est une année de préparation au concours extrêmement sélectif qui ouvre la porte des 4 filières médicales:  médecine, dentaire (odontologie), pharmacie ou maïeutique (sage-femme) et des études de masseur-kinésithérapeute.

  • Admission: Tous les bacheliers sont admis de droit dans leur académie. Mais c’est avec un bac S obtenu avec mention qu’on a le plus de chance de réussir sa PACES.

L’inscription se fait via le site PARCOURSUP/

  • Durée des études : 1 année. Il n’est pas possible de s’inscrire plus de deux fois en PACES, autrement dit, on ne peut redoubler qu’une seule fois.
  • Organisation des études : L’année de Paces se déroule à l’université, avec des cours magistraux en amphithéâtres rassemblant plusieurs centaines d’étudiants et des enseignements dirigés réalisés en plus petits groupes Il faut compter 25 à 30 heures d’enseignement par semaine.

Nombreux sont les étudiants à suivre en plus une prépa privée ou le tutorat de l’université.

  • Rythme de travail : La préparation au concours exige un rythme soutenu. Un élève de prépa travaille près de 60 heures par semaine, cours et travail personnel confondus. Cela laisse peu de place pour les loisirs… Pour tenir le rythme et supporter la pression, il faut savoir s’organiser et avoir une grande capacité de travail.  Les étudiants doivent fournir un important travail personnel pour se préparer au concours, très sélectif : seul 1 étudiant sur 3 passe en 2e année d’études de santé après 1 ou 2 années de PACES.
  • Validation des études :  La PACES ne débouche pas sur un diplôme.

À la fin du 1er semestre, en décembre ou janvier, les universités organisent la première partie du concours. Les partiels, reposant  essentiellement sur des QCM (questionnaires à choix multiples), durent 1 ou 2 jours et portent sur les acquis du premier semestre. Ces partiels donnent lieu à un classement des étudiants: les 85% les mieux classés peuvent poursuivre l’année de PACES. Ils doivent se positionner sur le ou les concours qu’ils présenteront à la fin du 2d semestre.

Les 15% les moins bien classés doivent obligatoirement se réorienter et ne peuvent pas continuer leur PACES.

  • Après la PACES :

Si l’étudiant est classé en rang utile dans l’une des filières, c’est-à-dire dans le numerus clausus, il peut poursuivre en 2e année de cette filière.

Si l’étudiant a plus de 10/20 mais n’est pas classé en rang utile (« reçu collé »), il peut alors redoubler ou se réorienter vers une autre filière universitaire en candidatant pour intégrer directement la 2e année.

Si l’étudiant a moins de 10/20, il peut redoubler mais s’il choisit de se réorienter, il n’aura pas d’équivalence pour intégrer une 2e année d’une autre formation universitaire.

Si l’étudiant est classé au delà d’un rang compris entre 2,5 et 3 fois le numerus clausus pour l’ensemble des filières qu’il a présentées, il n’est pas autorisé à redoubler et est obligatoirement réorienté vers une autre formation.

orientation post bac

 

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